Il existe deux versions du Waldgänger. L’originelle est un feuilleton numérique de six épisodes, la seconde version est un roman papier.
Ces deux versions présentent des différences. Pas sur le fond de l’histoire, mais sur certains passages que j’ai développés et enrichis. Plusieurs raisons à cela :

– on ne lit pas tout à fait un feuilleton comme on lit un roman tout comme on ne regarde pas une série comme on regarde un film. Je ne rentrerai pas dans les détails de ce qui marque ces différences : pas le temps ni l’envie de m’étendre sur ce sujet un peu technique aujourd’hui. Un jour peut-être…

– publier à nouveau une histoire écrite il y a plusieurs années m’a donné l’occasion rare de reprendre le texte, de le nourrir, de le faire évoluer. Si j’ai à réécrire le Waldgänger dans quelques années, j’imagine que je le reprendrai encore et encore. Je ne suis pas de ceux qui pensent écrire le texte « absolu » du premier coup, bien au contraire. Réécrire en partie cette histoire m’a donc donné l’occasion de l’enrichir, de l’affûter. J’ai coupé, réécrit, ajouté. Il ne s’agissait pas de tirer à la ligne, mais bien d’approfondir certains passages qui à mes yeux devaient l’être.

– et, raison suprême, sans doute la principale, je me suis fait plaisir. Et pour ne rien vous cacher, j’aime bien me faire plaisir.

– il y a bien d’autres raisons encore, mais je suis là encore d’humeur trop paresseuse pour les développer.

Certains diront qu’il existe une sous-version numérique donc et une version enrichie format papier .
Ce à quoi je répondrai :  il existe une version numérique de la version papier 🙂
Juste là :